Arrête de faire le con aussi sinistrement.
 
T même pas Daladier, Chamberlain, et bien sur je l'espère pour toi, Adolf ou son "Musso"
 
Tous les joueurs ambigus sont Kroqués par Sheitan,
Ne deviennent
Que de pitoyables marionnettes,
Quand l'histoire passe.
 
Ne Faurissone plus,
même pour ouvrir une tribune.
 
C vrai que l'histoire se re-visite toujours par le regard des "vainqueurs", mais,
Vois plus loin STP.
 
Souviens-toi de la noblesse des black panthers!
Respecte cette mémoire qui restera au coeur des peuples noirs,
Et des autres peuples.
 
Même les êtres doués et autonomes peuvent s'égarer,
Le vrai combat est plus grand que l'opposition des cultures ou des ethnies.
 
Redeviens,
STP,
Ce Coluche des banlieues que tout le monde aimait,
Des plus cocos aux plus fachos,
Des plus beaufs aux plus apaches.
La négritude n'est pas l'unique incertitude,
Alors Dieudo', mmmmmmmmmmm!
 
Poses-toi 5 mn et donnes juste un peu de temps à ta conscience talentueuse
Pour se remettre en accord avec ton amour de l'humanité globale,
Cet enfant de nature qui fait vivre et créer.
 
Je ne veux pas donner de leçon,
Ca ne m'intéresse pas,
La validité du regard prime sur les images produites par l'expérience,
Sensible ou calculée.
 
N'enmènes pas STP,
D'autres que toi-même sur des chemins de traverse,
Qui transversent l'histoire
Du fond qui,
Malheureusement est enfoui en chacun de nos fonds,
Bosses pour la libération,
Pas dans les canalisations.
 
La chair humaine s'accorde mal du "plomb fondu",
C'est tant mieux,
Vive la vie,
Mort à la mort,
Au quotidien comme dans les mémoires.
 
Tu es talentueux,
Un véritable créateur,
Alors justement,
Inutile que je te dise la ou les suites.
 
Reviens parmi nous,
On a besoin de toi,
Mais pas de ça!
 
je suis 1 tout petit gaulichon qui se traine ne banlieue,
si je t'écris tout ça je ne recherche RIEN!
Sauf la paix et l'union qui sont étroitement liées,
J'ai cessé d'être un guerrier,
Le futur
Délaissera les armures.

Il jouait  avec des mots,
Comme des idéaux,
Seul et saoul sous sa couverture.

C’est la Loi des décisions,
Théorèmes d’indécisions,
Il  a froid- il a peur et n’entends plus son cœur,

De n’importe quelle ethnie - de n’importe  quelle douleur,
La souffrance se vit d’abord de l’intérieur.

Il était comme un autre,
Comme n’importe quel Autre,
Il avait faim de Vie,

Y’a pas besoin d’extrêmes,
Pas besoin de « Je t’aime »
Pour sentir les froideurs des glaciers de bétons,

De n’importe quelle histoire ou de géographies,
Les âmes des hommes toujours sont en oubli.

Bien sur il rêvait,
Bien sur il projetait,
Bien sur il en parlait,

A ses rares amis.

Il s’est fait rattraper
Par la roll-société,
Et le voici gisant avec seule compagnie
L’haïssable société,

De toutes les vies, de les postérités,
Ce qui reste en mémoire est son activité.

Des forces des peuples en face de leur douleur,
La musique de l’âme repart de l’intérieur !

> 3 cuillères à soupe d'huile d'olive
> 2 cuillères à soupe de vinaigre balsamique ( noir ou blanc) ou vinaigre de cidre
> 1 cuillère à soupe d'eau
> 1 pincée de sel et de poivre
> quelques échalotes coupées finement, voire une toute petite gousse d'ail
> une petite cuillère de moutarde pour le goût.