• " - Connaissez vous, Seigneur, cette histoire singulière ayant pour cadre la
    chute de Pompéï?

    Pline l'ancien relata les événements tout-préalables à la submersion par la
    nuée de ce fleuron latin ...

    Nous connaissons ainsi l'histoire de ces jours, précédant, ultimement,
    l'anéantissement de la ville...

    Si nous les connaissons, c'est que Pline l'ancien, dans un premier temps,
    parvint à prendre la mer, emportant ses écrits ..

    Mais quand le grand homme apprit que sa chère femme n'avait pu trouver à
    embarquer, pris d'une douleur paroxystique, il prit

    une barque et retourna vers la ville, déjà "fort enfumée",pour tenter un
    sauvetage ...

    Ce qui lui fut fatal!...

    Cela, c'est Pline le jeune, son fils, resté à bord du navire, d'où il vit la
    phase de destruction ultime, qui le raconte ..

    Lui avait pu embarquer, avec sa jeune femme .. "


    MORALITE:

    "Mieux vaut une jeune Pline qu'une vieille"!..
    euh...
    (promis, je le referai plus)   ...


  • petite leçon d'histoire antique, "en-kit"...
    ... de -1500 à +400, il y eut, en fait, deux royaumes de kush ...
    ... celui de la première ère succomba, finalement, à l'hégémonie d'
    amène-aux-fils, lequel pilla même fils et thèbes, aux communs canyons, pour
    financer l'invasion.

    la deuxième ère du royaume, dite "seconde-kush", réhaussa, jusqu'en 400
    p.JC, l'éclat de cette civilisation, sous l'impulsion de souverains ou
    reines tels que samlébris II, ou encore samlepeth ...

    ... seti pas beau l'égyptologie?


  • Chasseur d'imagesIls peuvent bien raconter les autorités nées
    D'écoles en faces d'écoles et d'écoles,
    Et armés de papiers qui règleraient les vies...


  • 08

     Ainsi voici:

     Hypothèse:

     Tu m'invitais dans l'un de ces cafés littéraires.
    financé, établi, et SURTOUT pas médiatisé!
    Fort de mon intimidation devant de "beaux esprits", je prononçai ce
    discours (sous des huées permanentes!), à cette assemblée:

    Mesdames Messieurs,
    Je ne sais si je devrais parler devant cette assemblée!
    Peut-être devrais-je agir?
    Je hais les philosophes, N'ai jamais pu les lire, et, bien sur, les
    comprendre.
    Je ne participe pas des mouvements de progrès actuellement intégrés,
    Voire en vogue.
    Je ne suis qu'un barbare à l'intellect malade constitué de mépris.
    Vous me semblez de nobles observateurs De la surface d'une eau en ébullition,
    Dissertant sur la nature de la bulle!

    Mais aucun, ô grand jamais, de vous, Ne risqua sa main sous la marmite,
    Pour comprendre que "le feu, ça brûle"!...
    (Socrate, votre illustre prédécesseur, opta pourtant, me semble-t-il,
    Pour un autre chemin, mais qu'importe,
    L’histoire et ses arômes ont, Depuis lors, Coulé de grands flots
    d'amertume. Ca aplanit le goût!)

    Je voulais simplement justifier à vos yeux, si humanistes,
    La dérive avérée de quelques-uns dont je suis,
    Qui fait que:

    Si je crois en l'homme,
    Je hais "les Gens",
    Guillemets dans lesquels Je vous ressens, enfermés dans une cause indéfinie.
    Je sais bien!...

    Au regard de la "société consensuelle"
    (et sans sensualité,)
    (et sans sens,)
    (et pourtant encensée,)

    Je suis un ennemi, Ancestral prédateur.
    Je connais mon orgueil, Père de tous mes vices,
    Face à l'inéluctable établissement d'un bonheur,
    Ne connaissant pas de distinction.

    C’est pourquoi,
    Jamais je ne vous parlerai,
    Surtout en ces moments,
    De messe où le triste diable
    Que je me résous d'être,
    N'a,
    Séculairement,
    Plus rien à faire.
    Diable je suis devenu
    (Rassurez-vous, tout juste un fonctionnaire de son office
    de maléfices,
    il reste des abris,
    Multiples,
    pour vos précieuses pensées fugaces,
    je ne vous atteindrai pas .. 

    Votre force:
    L'immatériel,
    Ceci même que ma pensée
    Ne peut atteindre,
    Par constitution.

    Je ne puis être qu'un acte qui,
    Même pensé,
    Ne peut constituer une pensée.

    Tant pis pour moi,
    Qui rêva d'une débauche,
    Des sens, des sentiments,
    Des folies,
    Des boniments,
    De tout ce non avenir fondateur
    De la mort ordinaire.

    Vous serez plus forts que tout cela,
    Même votre loi humaine surpasse la destruction,
    Alors,

    Mesdames, Messieurs,
    Continuez de discourir,
    Dans le bonheur immaculé de la raison,
    Et laissez moi me repaître
    De toutes ces ivresses
    Que vous ne voulez plus consommer.
    Ma paix et mon ombre
    Ne font qu'Un."


  • 07

    Vu,
    Les siècles
    Moi,
    Toute-simple personne face à votre puissance générationnelle,
    Je rêve Mais je dis :

    J'aimerais avoir si simplement les têtes,
    Des moulins,
    (pas ceux qui dressent encore fièrement leurs têtes ailées des vents si giratoires,
    séculaires,
    et surplombent insolemment les paysages oubliés de l'image marketing, etc., ...)
    A vent (insolent, ce vent, aussi!)

    Ou alors la force aveugle de toutes Nos éoliennes ?
    Le vent succède aux vents.

    Fils es Davos fondateurs de cette modernité
    Que tout le monde récrie mais avale
    Paye ton banquier d'abord, après,
    Penses à toi,
    Et encore après,
    A un ou une autre?

    Théorème maffioso,
    Tu tiens l'Humanité comme la nature humaine,
    Combien, ?
    Le kilo de nature

    Je sais que vous êtes tous comptables,
    Et saurai vous retrouver
    Bien plus tôt
    Que la "justice internationale".






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